Dove Eats Hawk, on en redemande !

26 Janvier 2017 , Rédigé par Thierry Joigny

Si je ne m'abuse je commence l'année photomusicale en publiant des images du même groupe avec lequel j'ai terminé la précédente : Dove Eats Hawk. Autres lumières, autre configuration scénique, c'était cette fois-ci au café-concert "La Gamelle" à Orvault ce 20 janvier. Si en live, les lumières étaient plus belles, plus adaptées (bravo à l'éclairagiste ! ) et le groupe plus proche de ses groupi(e)s ;), en post production des fichiers, je dois avouer que c'était un peu galère...Les lumières toutes bleues ou toutes rouges, ça rend fou les capteurs..et le photographe qui tente tous les réglages possibles sur son logiciel préféré (pas de pub ici ;) )pour retrouver la magie ! Pour résumer, j'ai ici encore plus apprécié le show, l'ambiance, d'autant que l'un de mes groupes fétiches, Pink Floyd au hasard, a été fort bien représentés et surtout interprétés ! Pensez, en plus d'extraits de "The Wall" dont le génial "Comfortably Numb", le public a eu droit à "One of These Days" for the first time ! Et puis nous avions le plaisir d'entendre en première partie, deux membres du groupe Spills , version acoustique, avec l'énergie incroyable d'Esmeralda au chant et de Cyrille à la guitare, vite rejoints par les Dove. En fin de concert, c'est Cyrille, le patron des lieux himself , qui est venu rejoindre le groupe avec sa guitare électrique pour un "Comfortably Numb" à tomber !!

J'en profite pour vous inciter à aller écouter les Spills ce samedi 28 janvier au Triolet à Nantes !

Quant à moi, j'espère bien avoir d'autres occasions d'aller voir ces groupes et de vous présenter encore d'autres images ! Quant on aime...

Sélection des clichés de la soirée sur AMAROK PHOTO et l'intégrale sur mon espace FLICKR

Pour terminer, un grand merci pour vos retours après l'émission spéciale consacrée à "Ommadawn" et "Return to Ommadawn", à l'occasion de la sortie du nouvel Opus de Mike Oldfield :) Et pour les retardataires, séance de rattrapage ICI !

Photographiquement Vôtre,

Thierry Joigny

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